Dialogue entre cinéastes: Axelle Ropert & Pierre Léon
- il y a 14 ans
AXELLE ROPERT
Axelle Ropert a réalisé "Étoile Violette" (moyen métrage, 2005) et "La Famille Wolberg" (2009).
Elle a écris les scénarios de "Mods" (2003), "La France" (2007), et "Tip Top" (2010) de Serge Bozon.
Elle a été critique de cinémùa à La lettre de cinéma, ecrit actuellement aux Inrockuptibles, et participe à l'émission Le Cercle" sur Canal+.
PIERRE LÉON
Né à Moscou, en Russie, en 1959, d'une mére russe et d'un père français, Pierre Léon s'installe à Paris en 1975.
À la faculté, il commence à tourner des films avec Mathieu Riboulet. De cette occasion naît une société presque secrète, que le cinéaste Jean Claude Biette baptise Spy films dans les années 90.
Les films se succèdent à un rythme soutenu, tournés en vidéo ("Li per Li"", 1994, Oncle Vania", 1997,etc..) ou 16 mm ("l'Adolescent", d'après Dostoïevski, 2000). Pierre Léon a également travaillé à Libération, ou il a rencontré Louis Skorecki, son deuxième oncle de cinéma avec Biette.
En 1993, il écrit ses premiers textes dans la revue Trafic, dont il est aujourd'hui membre du conseil de rédaction. Il traduit en français ses poèmes d'Aléxandre Blok et de Marina Tsvétaïa, et les romans des frères Vaïner.
Il joue dans quelques films amis, sous la direction de Jean Claude Biette, Louis Skorecki, Jean Paul Civeyrac, Serge Bozon, Anne Benhaïem ou Jean Charles Fitoussi. Ses trois derniers films "Octobre", "Guillaume et les sortilèges" et "L'idiot", ont été séléctionnés au Festival International de Locarno.
Axelle Ropert a réalisé "Étoile Violette" (moyen métrage, 2005) et "La Famille Wolberg" (2009).
Elle a écris les scénarios de "Mods" (2003), "La France" (2007), et "Tip Top" (2010) de Serge Bozon.
Elle a été critique de cinémùa à La lettre de cinéma, ecrit actuellement aux Inrockuptibles, et participe à l'émission Le Cercle" sur Canal+.
PIERRE LÉON
Né à Moscou, en Russie, en 1959, d'une mére russe et d'un père français, Pierre Léon s'installe à Paris en 1975.
À la faculté, il commence à tourner des films avec Mathieu Riboulet. De cette occasion naît une société presque secrète, que le cinéaste Jean Claude Biette baptise Spy films dans les années 90.
Les films se succèdent à un rythme soutenu, tournés en vidéo ("Li per Li"", 1994, Oncle Vania", 1997,etc..) ou 16 mm ("l'Adolescent", d'après Dostoïevski, 2000). Pierre Léon a également travaillé à Libération, ou il a rencontré Louis Skorecki, son deuxième oncle de cinéma avec Biette.
En 1993, il écrit ses premiers textes dans la revue Trafic, dont il est aujourd'hui membre du conseil de rédaction. Il traduit en français ses poèmes d'Aléxandre Blok et de Marina Tsvétaïa, et les romans des frères Vaïner.
Il joue dans quelques films amis, sous la direction de Jean Claude Biette, Louis Skorecki, Jean Paul Civeyrac, Serge Bozon, Anne Benhaïem ou Jean Charles Fitoussi. Ses trois derniers films "Octobre", "Guillaume et les sortilèges" et "L'idiot", ont été séléctionnés au Festival International de Locarno.