bilan d'étape du plan de relance | Nicolas Sarkozy
- il y a 14 ans
A l'heure où des signes de reprise apparaissent, Nicolas Sarkozy a dressé mardi 1er décembre 2009 à la Seyne-sur-Mer un bilan d'étapedu plan de relance de l'économie.
« L'activité en France a reculé moins qu'ailleurs et elle s'est remise à croître dès le deuxième trimestre de cette année. Nous avons moins détruit d'emplois et notre chômage a moins augmenté », relève le chef de l'Etat en pointant les ravages de la crise aux Etats-Unis, la déflation au Japon et l'effondrement en Espagne ou Grande-Bretagne.
« Quand on voit que la France aura la plus petite récession, on doit quand même honnêtement se dire que la politique économique conduite y est pour quelque chose ! », s'exclame-t-il. « Je ne suis pas satisfait par le chômage qui augmente, mais à un moment ,je suis quand même obligé de dire la vérité aux Français et de mettre les points sur les i ».
Les réussites du plan de relance sont bien réelles : le plan de sauvetage des banques qui n'a pas coûté un centime d'euros aux contribuables, la priorité donnée à l'investissement, qui était le seul choix possible ou la prime à la casse que tous les pays ont adoptée.
Au passage, Nicolas Sarkozy rappelle très justement que les critiques, qui l'accusent notamment d'avoir creusé les déficits, « sont les mêmes qui, hier, voulaient doubler le plan de relance ».
« L'activité en France a reculé moins qu'ailleurs et elle s'est remise à croître dès le deuxième trimestre de cette année. Nous avons moins détruit d'emplois et notre chômage a moins augmenté », relève le chef de l'Etat en pointant les ravages de la crise aux Etats-Unis, la déflation au Japon et l'effondrement en Espagne ou Grande-Bretagne.
« Quand on voit que la France aura la plus petite récession, on doit quand même honnêtement se dire que la politique économique conduite y est pour quelque chose ! », s'exclame-t-il. « Je ne suis pas satisfait par le chômage qui augmente, mais à un moment ,je suis quand même obligé de dire la vérité aux Français et de mettre les points sur les i ».
Les réussites du plan de relance sont bien réelles : le plan de sauvetage des banques qui n'a pas coûté un centime d'euros aux contribuables, la priorité donnée à l'investissement, qui était le seul choix possible ou la prime à la casse que tous les pays ont adoptée.
Au passage, Nicolas Sarkozy rappelle très justement que les critiques, qui l'accusent notamment d'avoir creusé les déficits, « sont les mêmes qui, hier, voulaient doubler le plan de relance ».