Trois femmes accusent Gérard Miller d'agressions sexuelles et d'un viol, notamment lors de séances d'hypnose dont certaines très anciennes, dans une enquête publiée sur le site du magazine Elle
  • il y a 3 mois
Trois femmes accusent Gérard Miller d'agressions sexuelles et d'un viol, notamment lors de séances d'hypnose dont certaines très anciennes, dans une enquête publiée mercredi sur le site du magazine Elle, le psychanalyste et réalisateur affirmant pour sa part avoir "la conviction de n'avoir contraint personne".
Gérard Miller, qui ne dément pas avoir eu des relations avec ces femmes, conteste leurs accusations. "Si quelque chose leur a déplu lorsqu'elles étaient avec moi, je n'ai aucune hésitation à l'affirmer: rien de ce que j'ai perçu ne m'indiquait qu'elles voulaient mettre un terme à la situation, car sinon à l'instant même j'y aurais mis un terme", assure-t-il dans une lettre publiée sur X.

Il déclare également n'avoir jamais pratiqué l'hypnose à son cabinet ou à son domicile, mais toujours en public. Selon lui, ce qui advenait dans un cadre privé relevait de "tests élémentaires" et "celui ou celle qui acceptait de s'y livrer n'était absolument pas hypnotisé, il restait parfaitement conscient, en totale possession de ses moyens".

"Avec toutes les femmes, j'ai la conviction de n'avoir contraint personne, prenant au pied de la lettre tout embarras, tout refus, et ce tout particulièrement quand je m'engageais sur le chemin de la séduction", soutient-il dans sa lettre.

Il avait anticipé la publication de cet article, en indiquant sur X vendredi avoir été informé par les deux auteures de la publication d'un article le "mettant gravement en cause". Une interview du cinéaste Benoît Jacquot menée en 2011 par Gérard Miller pour les besoins d'un documentaire est remontée à la surface récemment.
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