Révolte dans les écoles: des élèves de primaire se mobilisent contre le harcèlement !

  • 5 か月前
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Des élèves de primaire se mobilisent contre le harcèlement scolaire

Le harcèlement scolaire est un sujet d'une importance cruciale qui touche malheureusement toutes les tranches d'âge. C'est pourquoi certains parents d'élèves ont choisi de garder leurs enfants à la maison en signe de protestation contre ce problème persistant. MCE TV vous dévoile tous les détails.

Le fléau du harcèlement scolaire qui persiste

Nous aspirons tous à vivre dans un monde où la paix et le respect règnent en maître. Malheureusement, la réalité est bien différente. Le harcèlement continue de sévir dans les écoles, mais aussi en dehors. Ses conséquences peuvent être dévastatrices, entraînant parfois dépression voire suicide. Il est donc urgent d'agir pour endiguer cette tendance néfaste, en commençant par les réseaux sociaux.

Ces derniers jours, nous nous sommes intéressés à Instagram et à sa lutte contre le cyber-harcèlement avec son initiative FamZone à Paris, ainsi qu'à TikTok qui mobilise ses créateurs de contenu pour promouvoir le numéro contre le harcèlement. Par ailleurs, la chaîne de fast-food Burger King s'engage également contre les violences à l'école. Toutes ces initiatives sont très encourageantes.

Les élèves de primaire en grève pour dénoncer le harcèlement

Il arrive parfois qu'il faille prendre des mesures fortes pour faire bouger les choses, surtout lorsque l'on sait qu'un élève sur cinq est victime de harcèlement. C'est exactement ce qui s'est passé à l'école primaire de Malaunay, près de Rouen, le vendredi 1er décembre 2023.

Sur les 24 élèves d'une classe de CM2, seuls trois étaient présents ce jour-là. La raison ? Les parents en ont assez du harcèlement que subissent leurs enfants de la part de deux élèves de la classe. On peut donc supposer que ces deux derniers font partie des trois élèves présents...

Il est indéniable que ces deux individus font vivre un véritable enfer à leurs camarades. Certains parents ont accepté de témoigner devant France 3. "Nous ne voulons pas accabler ces deux élèves, mais lorsque nous voyons nos enfants sortir de l'école en pleurs, il est naturel de se mobiliser", a déclaré l'un d'eux. On peut comprendre leur désarroi.

Cependant, cette action de grève a été portée à l'attention d'Astrid Mazari, inspectrice de l'Éducation nationale, qui a refusé de transférer les deux élèves perturbateurs dans une autre classe. Les enseignants devront donc composer avec ce climat de tension jusqu'à la f

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