Omar Sy sur la guerre en Ukraine : "Le Parisien" dénonce des propos sortis de leur contexte
- l’année dernière
#People #OmarSy #OmarSy #guerreUkraine
https://gotopnews.com/post/1296777
Pris à partie par internautes et personnalités politiques, l'acteur est accusé d'avoir divisé la France de sa villa californienne, jugée indécente, alors d'autres le sermonnent en rappelant que soldats français ont donné leur vie pour les Maliens cessent d'être menacés par terroristes. Pour éteindre le feu Dans un long article, Le Parisien se demande comment on en est arrivé là et tente d'éteindre le feu. L'interview au coeur la polémique a été réalisée le 13 décembre dans les loges de Vivement dimanche, l'émission Michel Drucker à laquelle Omar Sy a participé. L'interview porte sur l'histoire des tirailleurs racontée par le film dans lequel l'acteur joue avant d'élargir au thème de la guerre qui reste d'actualité un siècle après la Première Guerre mondiale. Le quotidien considère que les propos d'Omar Sy ont été sortis de leur contexte. « Omar Sy y expose son horreur des atrocités commises sans cesse dans le monde depuis l'époque des tirailleurs, et pas seulement en Ukraine : 'Une guerre, c'est l'humanité qui sombre, même quand c'est à l'autre bout du monde. On a l'impression qu'il faut attendre l'Ukraine pour s'en rendre compte. Ah les amis ? J'ai vu ça depuis que je suis petit. Quand c'est loin, on se dit que là-bas, ce sont des sauvages, on ne fait plus ça. Comme le Covid, au début, on se disait : il n'y a que les Chinois'", peut-on lire. « Il n'y a évidemment aucun ton polémique dans sa réponse. A aucun moment l'acteur ne laisse entendre qu'on parle trop de l'Ukraine", souligne Le Parisien. Les choses sont dites sans virulence, ton est convaincu mais serein, humaniste, explique le journal qui précise qu'aucune question n'a été posée concernant Mali ou l'armée française aujourd'hui. "Ce n'était pas l'interview politologue ou d'un historien par un journaliste politique, mais acteur engagé dans la reconnaissance des tirailleurs sénégalais à travers un film puissant." « Nous nous sommes quittés, sans avoir le sentiment que des mots pouvaient choquer. Faire réfléchir, oui. Ce qui n'est pas du tout la même chose », juge le quotidien français.
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Pris à partie par internautes et personnalités politiques, l'acteur est accusé d'avoir divisé la France de sa villa californienne, jugée indécente, alors d'autres le sermonnent en rappelant que soldats français ont donné leur vie pour les Maliens cessent d'être menacés par terroristes. Pour éteindre le feu Dans un long article, Le Parisien se demande comment on en est arrivé là et tente d'éteindre le feu. L'interview au coeur la polémique a été réalisée le 13 décembre dans les loges de Vivement dimanche, l'émission Michel Drucker à laquelle Omar Sy a participé. L'interview porte sur l'histoire des tirailleurs racontée par le film dans lequel l'acteur joue avant d'élargir au thème de la guerre qui reste d'actualité un siècle après la Première Guerre mondiale. Le quotidien considère que les propos d'Omar Sy ont été sortis de leur contexte. « Omar Sy y expose son horreur des atrocités commises sans cesse dans le monde depuis l'époque des tirailleurs, et pas seulement en Ukraine : 'Une guerre, c'est l'humanité qui sombre, même quand c'est à l'autre bout du monde. On a l'impression qu'il faut attendre l'Ukraine pour s'en rendre compte. Ah les amis ? J'ai vu ça depuis que je suis petit. Quand c'est loin, on se dit que là-bas, ce sont des sauvages, on ne fait plus ça. Comme le Covid, au début, on se disait : il n'y a que les Chinois'", peut-on lire. « Il n'y a évidemment aucun ton polémique dans sa réponse. A aucun moment l'acteur ne laisse entendre qu'on parle trop de l'Ukraine", souligne Le Parisien. Les choses sont dites sans virulence, ton est convaincu mais serein, humaniste, explique le journal qui précise qu'aucune question n'a été posée concernant Mali ou l'armée française aujourd'hui. "Ce n'était pas l'interview politologue ou d'un historien par un journaliste politique, mais acteur engagé dans la reconnaissance des tirailleurs sénégalais à travers un film puissant." « Nous nous sommes quittés, sans avoir le sentiment que des mots pouvaient choquer. Faire réfléchir, oui. Ce qui n'est pas du tout la même chose », juge le quotidien français.