Genesis, la der der : On a vu le concert d'adieu de Phil Collins à Paris

  • il y a 2 ans
Le groupe britannique, mené par Phil Collins, est à Paris pour ses deux derniers concerts français depuis le mercredi 16 mars, avec une date de dissolution définitive fixée à la fin du mois. Nous y sommes allés. il est comme ça
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Même thème Rock : Genesis tiendra deux concerts d'adieu à Paris en mars 2022 Le groupe de rock progressif britannique mené par Phil Collins se reforme pour sa dernière tournée. Elle ne fera que deux escales en France : à la Défense Arena à Paris du 16 au 17 mars 2022.

salut final

Phil Collins, Mike Rutherford et Tony Banks ont 72 ans chacun. Comparé aux Rolling Stones, c'est presque un gamin. Sauf Phil Collins, malade, en béquilles sur la scène de la Paris-Nantaire Arena.

Batteur et percussionniste acclamé depuis longtemps pour sa créativité, Collins rampe devant une chaise aux accoudoirs hauts. Il a transmis son bâton et son tambour à son plus jeune fils, Nicholas, 21 ans, qui a reproduit les frappes lourdes et reconnaissables de son père avec beaucoup d'énergie et d'énergie.

Le carrosse arrogant du Millionaire Lord, avec Michael Rutherford à la guitare. Lui et Tony Banks (claviers), charismatique en tant que consultant bancaire en fin de carrière, ont jeté les bases du concert, soutenus par un solide Daryl Stuermer à la guitare et à la basse, et deux choeurs vocaux. .

Dans la salle, quelque 24 000 personnes sont venues rendre un dernier hommage et partager les derniers instants de musique live avec un groupe qui a marqué son adolescence. Le public a son âge artériel : entre 50 et 60 ans, parfois accroché à la Genesis épique et aventureuse des années 70, plus familier des années 80 squattant les bandes FM. Aux stands de marchandises et de bibelots, tout le monde faisait tranquillement la queue pour acheter des t-shirts colorés, des souvenirs et des imprimés à collectionner.

"Poutine, ce putain d'idiot"

La performance commence par deux morceaux de l'album "Duke" de 1980. C'est comme ça depuis des années : une longue séquence quasi-instrumentale aux rythmes brisés et à la volée qui est la marque de fabrique d'un groupe de rock progressif. Mais il ne fallut pas longtemps avant que le premier coup ne tombe : "Turn On Again", comme un sort, un appel à rallumer la chaudière. Ça a marché : Phil Collins chantait bien et haut, même si les grains tremblaient un peu et que la hauteur était devenue nasale. Blotti dans un survêtement noir, il semble lutter contre le handicap de son corps émacié et usé. Mais de sa faiblesse il est devenu une force : il s'est appuyé sur ses qualités vocales pour en faire une glose, un complément

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