Les adieux de Genesis à Paris : derrière Phil Collins,... Son Collins
- il y a 2 ans
Genesis, institution rock britannique réputée, donnera son dernier concert à Paris les mercredis et jeudis soirs. Ce devrait aussi être la dernière apparition de son célèbre chanteur et... en France.
#Lesadieux #GenesisParis #derrière
Illustration de l'énorme popularité de Genesis, les deux derniers concerts français du groupe britannique - poids lourds du rock progressif des années 70 (l'époque de Peter Gabriel et du guitariste Steve Hackett, respectivement en 1975 et 1977 sont partis en 2009), au succès considérable comme le roi du trio de la pop FM des années 80 et 90 - sera les mercredi 16 et jeudi 17 mars à Nanterre (Hauts-de-Seine) Arena de la Défense a lieu. Pas moins que la plus grande salle couverte d'Europe. Les deux dates devraient se cumuler pour environ 75 000 téléspectateurs. Beaucoup d'entre eux s'y étaient préparés avec une certaine horreur après avoir appris les graves problèmes de santé du chanteur-batteur Phil Collins, rendus publics grâce à des photos inquiétantes qui ont circulé sur Internet ces derniers mois.
"Pas encore mort"
L'ancien batteur, devrait-on écrire car Collins est l'une des plus grandes stars de la musique mondiale de ces 50 dernières années, avec plus de 100 millions d'albums vendus au sein de Genesis, près de 150 millions de solos, et des dizaines de tubes planétaires à son actif, a renoncé à son instrument préféré avec le coeur lourd depuis 2010.
Dans son autobiographie, ironiquement intitulée "Pas encore" ("pas encore mort"), il expliquait très sincèrement en 2016 qu'à la fin de l'enregistrement de son dernier album solo "Going Back" en 2010, il avait compris, ça devait avoir été la dernière fois qu'il a balancé ses baguettes, alors qu'il battait sa batterie dans une douleur atroce pendant l'enregistrement.
"Vous savez, je me suis lancé dans l'industrie de la musique parce que je savais jouer de la batterie. Je le fais depuis tant d'années et je ne peux plus le faire."
Il n'est pas rare que la batterie de pratique longue et intensive soit un instrument très physique qui a finalement certaines conséquences pour les musiciens qui en jouent. La douleur persistante ressentie par Phil Collins découlait initialement de la luxation d'une vertèbre lors de la dernière tournée de retrouvailles de Genesis en 2007 en raison d'une mauvaise posture derrière son instrument - Collins a quitté le groupe en 1996 - et a depuis quitté le groupe avec un "adieu" apparaissant sous la forme. Une chute grave quelques années plus tard, puis une pancréatite et un diabète par la suite, n'ont rien arrangé, le laissant avec des béquilles pour se déplacer, voire un anachronisme.
#Lesadieux #GenesisParis #derrière
Illustration de l'énorme popularité de Genesis, les deux derniers concerts français du groupe britannique - poids lourds du rock progressif des années 70 (l'époque de Peter Gabriel et du guitariste Steve Hackett, respectivement en 1975 et 1977 sont partis en 2009), au succès considérable comme le roi du trio de la pop FM des années 80 et 90 - sera les mercredi 16 et jeudi 17 mars à Nanterre (Hauts-de-Seine) Arena de la Défense a lieu. Pas moins que la plus grande salle couverte d'Europe. Les deux dates devraient se cumuler pour environ 75 000 téléspectateurs. Beaucoup d'entre eux s'y étaient préparés avec une certaine horreur après avoir appris les graves problèmes de santé du chanteur-batteur Phil Collins, rendus publics grâce à des photos inquiétantes qui ont circulé sur Internet ces derniers mois.
"Pas encore mort"
L'ancien batteur, devrait-on écrire car Collins est l'une des plus grandes stars de la musique mondiale de ces 50 dernières années, avec plus de 100 millions d'albums vendus au sein de Genesis, près de 150 millions de solos, et des dizaines de tubes planétaires à son actif, a renoncé à son instrument préféré avec le coeur lourd depuis 2010.
Dans son autobiographie, ironiquement intitulée "Pas encore" ("pas encore mort"), il expliquait très sincèrement en 2016 qu'à la fin de l'enregistrement de son dernier album solo "Going Back" en 2010, il avait compris, ça devait avoir été la dernière fois qu'il a balancé ses baguettes, alors qu'il battait sa batterie dans une douleur atroce pendant l'enregistrement.
"Vous savez, je me suis lancé dans l'industrie de la musique parce que je savais jouer de la batterie. Je le fais depuis tant d'années et je ne peux plus le faire."
Il n'est pas rare que la batterie de pratique longue et intensive soit un instrument très physique qui a finalement certaines conséquences pour les musiciens qui en jouent. La douleur persistante ressentie par Phil Collins découlait initialement de la luxation d'une vertèbre lors de la dernière tournée de retrouvailles de Genesis en 2007 en raison d'une mauvaise posture derrière son instrument - Collins a quitté le groupe en 1996 - et a depuis quitté le groupe avec un "adieu" apparaissant sous la forme. Une chute grave quelques années plus tard, puis une pancréatite et un diabète par la suite, n'ont rien arrangé, le laissant avec des béquilles pour se déplacer, voire un anachronisme.