La Minute Santé : arrêt cardiaque soudain, les Français sont mal préparés pour secourir les victimes
- il y a 5 ans
Avez-vous déjà eu entre vos mains un défibrillateur ? Savez-vous faire un massage cardiaque ? Selon une récente étude, 80 % des Français ne sauraient pas comment réagir pour secourir une personne en arrêt cardiaque soudain (ACS). Pourtant, dans ces cas-là, chaque seconde compte.
"Sans prise en charge immédiate, plus de 95% de ces arrêts cardiaques sont fatals. La courbe de survie d’une personne en situation d’arrêt cardiaque devient critique à partir de 4 minutes, il n’y a donc pas de place pour le doute, c’est une course contre la montre qui est engagée, on parle de mort subite", rappelle Charles Nadot, directeur de My dae by apex distribution, une entreprise marseillaise spécialisée dans le conseil et la vente défibrillateurs cardiaques.
L'arrêt cardiaque soudain peut toucher n’importe qui. Dans plus de 70 % des cas, ces accidents surviennent à domicile, le reste sur la voie publique, au travail ou dans des lieux publics. Le plus souvent, ces accidents se produisent devant des témoins, lesquels le plus souvent ne savent pas pratiquer les gestes adaptés et agissent dans la panique. Et pourtant le temps presse. Le sang qui transporte l'oxygène de l’air ne circule plus et n’alimente les organes vitaux : le cœur lui-même, les poumons et le cerveau qui subira des lésions irréversibles en quelques minutes.
"Sans prise en charge immédiate, plus de 95% de ces arrêts cardiaques sont fatals. La courbe de survie d’une personne en situation d’arrêt cardiaque devient critique à partir de 4 minutes, il n’y a donc pas de place pour le doute, c’est une course contre la montre qui est engagée, on parle de mort subite", rappelle Charles Nadot, directeur de My dae by apex distribution, une entreprise marseillaise spécialisée dans le conseil et la vente défibrillateurs cardiaques.
L'arrêt cardiaque soudain peut toucher n’importe qui. Dans plus de 70 % des cas, ces accidents surviennent à domicile, le reste sur la voie publique, au travail ou dans des lieux publics. Le plus souvent, ces accidents se produisent devant des témoins, lesquels le plus souvent ne savent pas pratiquer les gestes adaptés et agissent dans la panique. Et pourtant le temps presse. Le sang qui transporte l'oxygène de l’air ne circule plus et n’alimente les organes vitaux : le cœur lui-même, les poumons et le cerveau qui subira des lésions irréversibles en quelques minutes.