"La Couleur des mots" Philippe Blasband et Aylin Yay

  • il y a 16 ans
L’idée était de mettre le spectateur à la place de quelqu’un qui est dysphasique. J’ai l’impression que c’est plus facile de faire cela avec une fiction. Dans un documentaire, on a tendance à rester plus extérieur. Or, le but premier du film est de suivre quelqu’un de dysphasique et de suivre son point de vue avec des moyens cinématographiques. Encore que certains spectateurs hésitent. On nous dit que la logopéde est bien : en fait, il s’agit de Martine Willequet, une comédienne qui ignorait tout de la dysphasie avant le film.
http://www.cinergie.be/critique.php?action=display&id=445

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