TO LOVA CONGO : Appel du 24 aout à tous les amoureux du Congo
- il y a 10 ans
Profitant de cette dernière semaine de congé estival, l’Ambassadeur Henri Mova Sakanyi a convié ce dimanche 24 aout 2014 durant toute une journée, plus de 150 Congolais et leurs familles qui se sont donné rendez-vous à la Chancellerie Congolaise dès 9 heures sise 30,rue Marie de Bourgogne, à venir se retrouver pour une « communion patriotique » autour des valeurs de la nation et du motto « mens sano in corpore sano » avec des activités sportives et un barbecue géant mixte belgo-congolais. Trois autocars ont porté les invités vers la destination du jour à savoir le site de vacances Floréal dans les Ardennes belges qui en ce même moment célèbrent le centenaire de la résistance belge face à l’occupant allemand (14-18) par le biais de diverses expositions et manifestations. De résistance, il a été question au cours de cette excursion de réarmement patriotique aux allures d’université d’été.
En effet, partant du diagnostic alarmant que « la nation est en danger par le biais d’une alliance objective entre les forces obscures qui veulent la fin du pays et de plus en plus de Congolais qui se livrent « avec délectation à l’autodérision, maîtres dans l’art de l’auto flagellation et adeptes du déclinisme absolu, ils voient d’autre issue pour ce pays que la mort, la disparition dans les flots de l’océan en se laissant englouti corps et biens » , l’Ambassadeur a appelé à résister et lancé l’idée d’un mouvement mobilisateur dénommé « TO LOVA CONGO » qui est destiné à « déconstruire ce comportement qui s’enracine et qui génère une existence de victime résignée, une sorte de défaite permanente. » afin d’éviter « le suicide collectif qui ouvre la voie à la pérennisation de la domination étrangère » en RDC. Dans son appel de la Roche-en-Ardenne, Henri Mova appelle à « l’amour du Congo par tous ses filles et fils » car « l‘amour du pays est le maillon incassable qui génère d’autres chaînons qui mènent une nation à la grandeur » et d’enchérir que « ce n’est pas parce que son enfant ou son parent est malade ou a fait du mal qu’on le vilipende ou le tue ! » . Ainsi « TO LOVA CONGO » est selon lui « une entreprise de promotion de l’amour de la patrie ;
- une école d’apprentissage de civisme ;
- une plate-forme pour la fierté d’être Congolais ;
- un mouvement d’idées ;
- une dynamique citoyenne. »
Afin d’ « AIMER LE CONGO et VEILLER A EN PORTER HAUT LA REPUTATION ET REFUSER A VOIR TRIOMPHER LE NEGATIF SUR LE POSITIF DANS LE PERCU ET LE VECU QUOTIDIENS. »
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En conclusion, Henri Mova paraphrasant la question fatidique du Christ à Simon Pierre: « Pierre, m’aimes-tu ? » Et le Congo demande à chaque Congolais : «…, m’aimes-tu ? ». Il demande donc à chaque Congolais « de montrer, même de façon ostentatoire, qu’on aime le Congo et qu’on est prêt à tout sacrifier pour lui. Il s’agit de cet amour qui veut qu’on privilégie les intérêts de la nation aux ceux de sa personne. C’est lui crée des citoyens vertueux que l’on observe dans la marche d’une communauté. ».
En effet, partant du diagnostic alarmant que « la nation est en danger par le biais d’une alliance objective entre les forces obscures qui veulent la fin du pays et de plus en plus de Congolais qui se livrent « avec délectation à l’autodérision, maîtres dans l’art de l’auto flagellation et adeptes du déclinisme absolu, ils voient d’autre issue pour ce pays que la mort, la disparition dans les flots de l’océan en se laissant englouti corps et biens » , l’Ambassadeur a appelé à résister et lancé l’idée d’un mouvement mobilisateur dénommé « TO LOVA CONGO » qui est destiné à « déconstruire ce comportement qui s’enracine et qui génère une existence de victime résignée, une sorte de défaite permanente. » afin d’éviter « le suicide collectif qui ouvre la voie à la pérennisation de la domination étrangère » en RDC. Dans son appel de la Roche-en-Ardenne, Henri Mova appelle à « l’amour du Congo par tous ses filles et fils » car « l‘amour du pays est le maillon incassable qui génère d’autres chaînons qui mènent une nation à la grandeur » et d’enchérir que « ce n’est pas parce que son enfant ou son parent est malade ou a fait du mal qu’on le vilipende ou le tue ! » . Ainsi « TO LOVA CONGO » est selon lui « une entreprise de promotion de l’amour de la patrie ;
- une école d’apprentissage de civisme ;
- une plate-forme pour la fierté d’être Congolais ;
- un mouvement d’idées ;
- une dynamique citoyenne. »
Afin d’ « AIMER LE CONGO et VEILLER A EN PORTER HAUT LA REPUTATION ET REFUSER A VOIR TRIOMPHER LE NEGATIF SUR LE POSITIF DANS LE PERCU ET LE VECU QUOTIDIENS. »
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En conclusion, Henri Mova paraphrasant la question fatidique du Christ à Simon Pierre: « Pierre, m’aimes-tu ? » Et le Congo demande à chaque Congolais : «…, m’aimes-tu ? ». Il demande donc à chaque Congolais « de montrer, même de façon ostentatoire, qu’on aime le Congo et qu’on est prêt à tout sacrifier pour lui. Il s’agit de cet amour qui veut qu’on privilégie les intérêts de la nation aux ceux de sa personne. C’est lui crée des citoyens vertueux que l’on observe dans la marche d’une communauté. ».