Grèce: les créances douteuses bombe à retardement de la reprise?

  • il y a 10 ans
En 2010, Dimitris Pikrodimitris a souscrit un crédit immobilier. Il touchait alors 27.000 euros par an. Aujourd'hui, il n'en gagne plus que 6.500 et, comme un nombre croissant de Grecs, ne rembourse plus, phénomène qui inquiète les experts en économie.Durée: 02:25

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